THE HUNTER
Los Angeles 5h55:
Tic,tac,tic,tac... le bruit incessant de l'horloge murale fait n'être en moi une rage sans fondement. Enfoncer dans mon fauteuil, j'essaie de canaliser ma respiration faisant tressauter ma pomme d'Adam. Je sans le liquide chaud circuler dans mes veines et d'un coup je crois bien que l'alcool qui me brûlait la gorge à arrêter définitivement de faire effet sur moi. Les cris, les pleurs, les aboiements, c'est comme si la scène se tourner autour de moi. Comme si je n'avais jamais vraiment quitté cet endroits.
Je ressens les frissons sur ma peaux, l'humidité de l'endroit qui m'entoure, ses appels à l'aide, la dureté de son regard sur moi quand il s'apprête à lever la main pour me cogner. Puis la scène tourne encore derrière moi, et quand je me retourne c'est le petit garçons innocent de sept ans que je rencontre paniqué, apeuré, puis plus rien...
J'ouvre les yeux pour mettre fin à se souvenir pour l'empêcher de prendre plus d'ampleur sur moi qu'il n'en à déjà . C'est dans se genre de situation que je regrette la solitude...
Je souffle bruyamment fessant sortir l'air de mes poumons, comme si cela allait arrêter la sensation d'oppression que je sens en moi. Je me lève avec difficulté de ma chaise posent ma main sur l'accoudoir pour me stabiliser, quand le décor qui m'entoure arrête de tourner autour de moi j'empresse le pas et sort de mon bureau sans faire attention à la pagaille qui y est installé il y a quelque heures. J'heurte quelques fois les bouteille de verre qui encombre mon chemin, il faut que je sorte tout de suite d'ici avant de devenir fou!
J'ouvre la porte avec fracas sans me soucier de la fermer à clef. De toute façon se n'est pas comme si quelqu'un pouvait rentrer dans l'immeuble comme dans un moulin. J'enjambe les marches les une après les autres jusqu'à arriver sur le toi-terrasse de l'immeuble que j'ouvre via à ma clef. Je m'élance sur le bitume jusqu'à que m'es paumes agrippe les remparts, je laisse mon poids se balancer sur l'avant. Je ferme les yeux et m'autorise enfin à faire rentrer l'aire frais dans mes poumons, je serre la barre de métal jusqu'à sentir une douce douleur picoter mes doigts. Quand je m'autorise enfin à les rouvrir je desserre mes poing remarquant la blancheur apparaître sur mes phalange. La tête levée vers le ciel, je vois distinctement les étoiles au-dessus de moi et c'est dans le silence que je sens les battements de mon cœur se détendre tours par tours. Je baisse lentement la tête pour admirer la vue qui m'est donné.
Qu'est-ce que je suis en train de faire?
Les insomnies ne son pas nouvelles. Mais le fait que je boive comme un trou chaque fois que j'en ai l'occasion n'est pas normal. Sa va bientôt faire des semaines que je me comporte comme un abruti, mais la tentation est bien trop forte. Chaque fois que les souvenirs réapparaît je n'ai pas la force de les affronter je décide de noyer mes pensées dans l'alcool. Mais on dirai bien qu'à force de noyer mon cerveau dans ces eau trouble il a réussi à apprendre à nager, laissent l'alcool ne plus faire effet sur moi.
Je mords ma lèvre inférieur pour que la douleur me réveille. C'est quand le goût métallique s'enfonce dans ma bouche que je comprends que je ne rêve pas. Se n'est ni l'alcool ni le manque de sommeil qui la fait apparaître. Avant je pouvais la taire facilement, il suffisait que je pince ou me morde pour qu'elle disparaisse, la simple présence d'une personne dans les parages la faisait s'évaporer. Mais maintenant même la douleur du sang ne la fait pas disparaître...
Il suffit que je cligne des yeux pour que l'illusion soit plus vrais de seconde en seconde.
-Pourquoi tu essaies tant de me fuir? Me chuchote le fantôme de mes pensées.
-Tu n'es pas réel. Je murmure reposant ma tête entre mes mains.
-Pourtant tu me vois. Et tu me parle...
-Oui.
-Alors pourquoi tu persiste à croire que je ne suis que le fantôme de t'a folie, Carter?
Je me retourne vers la petite fille aux cheveux tressés balançant ses petit pieds dans le vide. Je me pince les lèvres et plisses les yeux. Elle n'a pourtant pas changé. Toujours ses petites tresses déposé de chaque côté des ses épaules, ses petites ballerines, et sa robe blanche aux motifs de petite fleure, recouvert par cette tache infâme...
-Je le sais, tu n'existe pas Betty tu n'es que le fruit de mon imagination.
-Est pourquoi donc? Me demande la petite fille, un sourire vicieux au lèvres.
Elle veut que je le dise.
-Parce que tu es morte. Je chuchote pour moi même.
THE VIXEN
Los Angeles 6h03:
-Hmm, hmmh. Et du coup, t'a prévu quoi pour lui? Me demande t'elle.
-Je sais pas Lily. J'aurai qu'à improviser, je trouverait sur le moments...
-Arrête de te foutre de ma gueule, Sam! Me gronde ma meilleure amie à l'autre bout du téléphone.
-T'a déjà trouvé quoi faire, tu veux juste pas cafter. Grogne t'elle.
Grillée.
-Ok,ok... Ta peut-être un peu raison. Je rigole à vois basse pour qu'elle ne remarque pas trop vite que je me fou royalement d'elle.
-Bon, et sinon sa se passe comment les affaires en se moment ? J'ai appris que tu t'étais rendus à Los Angeles ressèment. Tu bosse pour Enzo maintenant ?
Les infos vont vite on dirait...
-Mouais, c'est un peu près ça, Lily...
Sa ne m'étonne pas vraiment qu'elle soit au courant. À vrais dire il aurait été bizarre au contraire que ma meilleure amie Elise ne soit pas dans la confidences. Mais si cette dernière qui se trouve à l'autre bout du monde sait se que je trame, alors elle ne doit pas être la seul de son côté...
-Comment tu sais où je suis..? Je demande en reprenant une vois maitrisé.
-Secret professionnel. Désolé ma belle. Me répond t'elle comme si je pouvais me suffire de ça.
-Ok. T'inquiète, c'est pas important. Est toi du coup, toujours en Chine pour le boulot?
-Yep! Je dois d'ailleurs quitter le pays d'ici peu, quand j'en aurai terminé avec la « commande » du client je disparaîtrai ni vue ni connu.
-Passe à la maison si t'a le temps. Sa fait toujours plaisir de te voir.
-Hmm, hmmh. Moi aussi sa me fait plaisir de te voir. ça va faire quoi? Trois ans qu'on sait pas vus en vrais, j'en est un peu marre des FaceTime... ronchonne-t-elle .
Moi aussi, j'en est marre de vous voir à travers un écran Elise.
Après se qui sait passer il y a trois ans. La meilleure solution été de disparaître des radars un petit moment. Se qui signifier, stopper tout contact avec mon entourage. Même eux.
Mais maintenant que je suis de retour parmi les acteurs sur la scène il va falloir que je soit plus vigilante...
Mon retour ne plaira pas à tout le monde. Et j'en suis grandement consciente.
-Bon je te laisse ma belle. Il faut que je retourne bosser, tu m'expliqueras à mon retour se que tu fous là-bas devant un grand vers de vin d'accord?
-D'accord, prend soin de toi Lily. Bisous.
-Bisous.
Je raccroche et éteins mon téléphone, je suis de nouveau seul dans ma nouvelle demeure... Je tourne les talons et m'enfonce dans mon matelas la tête plongeant dans les oreillers. Je renifle le doux parfum de lavande qui m'entoure et ferment les paupières me laissent bercer pas la douce musique du silence.
***
Il fait chaud. C'est la première pensée qui me traverse l'esprit quand j'ouvre les yeux. Pourtant il n'y a aucune lumières aucun rayons de soleil qui peu se refléter sur ma peaux. Non, juste une chaleur écrasante qui me brûle de l'intérieur comme si on me cuisait dans un four. Quand mes pensées deviennent assez stables pour que je puisse me concentrer pour détailler ceux qui m'entourent. Je me retrouve à terre, les membres un à un enchaîné, il fait trop sombre pour que je puisse voir autre choses. Pourtant j'arrive à distinguer des silhouette à mes côtés. Des silhouette de femmes, toutes enchainées comme moi. Comme une vulgaire marchandise.
Quand je rouvre les yeux, c'est le bruit incessant de mon réveille qui me sort de mes rêves, de mon passé. Se ne sont plus les cadavres mais la masse d'oreillers à ma droite qui m'entoure. Je n'est pas dormi beaucoup cette nuit, j'ai passé la majorité de ma soirée au téléphone avec Elise à parler de tout et de rien. Mais sa m'a fait du bien.
Je passe un rapide instant sous la douche puis attrape mes vêtements éparpillés sur le lit, je m'habille en quelques secondes le temps d'être présentable puis prend mes clefs sur le comptoir et démarre la voiture.
Clac,clac,clac.
Aujourd'hui je commence une nouvelle journée sous le nom de Kaira Yarros, il ne m'a pas fallu bien longtemps pour comprendre comment fonctionner l'endroit et savoir sur qui je dois me focaliser en priorité.
Clac,clac,clac.
Il faut que je réfléchisse à un plan solide qui me permettra d'arriver à mon but sans que je ni laisse des plumes. Mais comment faire?
Clac,clac,clac.
Comme le bruit incessant de mes doigt sur les touches du clavier qui résonne dans le bureau. Je prend appuie sur le rythme de mes collègues, pour l'instant j'ai pour mission avec Liam de récolter le plus d'informations sur le gang en essayant de récupérer certainement des planques sur leur prochaine cargaison d'armes.
-Des mules seront sûrement utilisées à la frontière pour faire livrer la drogue, et puisque nous ne connaissons pas encore l'entièreté des visages qui travaille pour se cartel nous ne possédons pas d'identité concrète pour l'instant.
-Il faut donc se focaliser sur leurs probable investisseurs du côté des armes, et des ventes au marché noire. Répond Kyle.
-Donc on laisse de côté le blanchissement d'argent et les histoires de drogue? Demande Liam.
-Non pas forcément nous informe t'il. Il faut que l'on collecte le maximum de renseignements, nous ne connaissons à peine les noms avec qui il travaille et il nous faut encore du temps pour gagner la total confiance des passeurs. Une autre escouades d'une agence voisine sera envoyé à la frontière pour t'atter le terrain, avec de la chance on coffrera leurs mûles et on pourra se focaliser sur un possible interrogatoire, si l'on met la main sur eux. Comme tout chef de gangs, Enzo ne travaille pas seule avec les membres de son gangs il doit sûrement collaborer avec d'autre personne autre que pour des négociations...
-Il faut donc qu'on arrive à mettre la mains sur tous se qu'on à besoin avant la date fatidique.
-La date fatidique? Je demande les sourcils froncés.
-Oui, pour l'instant se gang est l'un des plus puissants que se soit dans la vente d'armes, la drogues et tous se qui l'entoure. Nous ne sommes pas ignorants de leur application avec d'autre gangs qui viennent d'ailleurs. Colombie, Mexique, Russie... Mais si on reste trop longtemps ici à attendre il nous sera bientôt impossible de leur mettre la main dessus. S'exclame Kyle la main posée sur le bureau.
En gros c'est se qu'ils ont dit...
Donc pour résumer la situation, Kyle et Liam s'occupent de creuser plus en profondeur sur les possibles collaborations qu'ils pourraient entretenir via les écoute téléphoniques et surveillance électronique.
Pendant que Jude et moi recueillons des informations sur les lieux de rencontre et les personnes clé à surveiller. Je ne sais pas exactement se que font Thomas et Carter, mais ils doivent sûrement être en train de chercher un quelqu'un qui leur fournira plus d'indices et se concentrer sur le futur infiltré qui rejoindra les rend de l'ennemi.
Pour l'instant je profite de c'est instant pour tisser les quelconque liens avec les policiers, pendant que tout le monde est occupé je devrais me démener pour écouter les échanges et tirer à mon avantage ces information pour créer de fausses pistes...
Se qui est le plus troublant dans c'est missions d'infiltration, c'est la durée de la mission. Car oui, il faut savoir magner le temps avec facilité car un pas de travers et c'est la case prison! Il faut savoir interagir au bon moment, avec la bonne personne quant il faut sans que se la paraissent suspect. Il faut susciter la confiance et savoir user du charme de l'instant présent. C'est la clef. Mais le temps, je n'en est pas... c'est bien sa le problème!
THE HUNTER
-Mal dormis, mon pote?
-Hmmh, quoi? Je demande les sourcils froncés en direction de mon imbécile d'ami.
- Je disais que t'avais la tête dans le cul, mon vieux!
-Je t'en emmerde Kyle!
-Moi aussi je t'aime mon chou. Me dit il d'un clin d'œil.
Il y a vraiment quelque chose qui tourne pas rond chez se mec... Mais bon, rien d'étonnant c'est du Kyle tout craché.
Je souffle bruyamment de frustration et m'adosse sur le bord de la table. Rien. Sa va faire plus de 2 heures que l'on est coincé sur ses maudit écrans qui me font un mal de crâne et toujours rien. Pas la moindre information à enregistrer dans le dossier...
-Tu crois que l'on pourrait chopé l'un de ses gars et le faire passer à l'interrogatoire? Souffle Kyle exaspéré.
-Je ne sais pas... T'a eu des informations sur la taupe, de ton côté?
-Négatif. Rien de nouveau pour le moment, je crois que leur bosse à capter la supercherie si c'est le cas on est dans de beaux draps!
-M'en parle pas. C'est déjà un miracle que Andrea est accepté de nous charger de cette mission.
-Faut croire que ceux d'en haut on eu vent des bénéfices que faisait remporter la drogues et leurs bidules au Devil's Nigth est que sa leur a suffit à bien vouloir enfin se bouger le cul.
Kyle à raisons. Il y a quelques années ils n'auraient jamais voulue nous confier une mission comme ça. Le fait qu'une escouades soit complètement focalisée sur ça ne les gêne pas plus. Mais il faut croire que les choses ont bougé la haut, et je ne vais pas m'en plaindre!
Mais sa me fait chier de ne rien trouver de nouveaux! J'essaie de penser à autre choses mais mes pensées dérive instantanément sur une belle rousse aux courbes parfaitement dessinées. Je n'ai pas reparlé à Kiara de puis le moment gênant à la sortie de la cage d'ascenseur, après mettre pris la mains dans le sac. S'était assez embarrassant, même si je n'ai sentis aucune émotion négative de la belle rousse. Je n'ose même pas lui parler droit dans les yeux après sa... Mais il semblerait que le destin en est choisi autrement quand je me retrouve assigné à la même mission avec Kiara.
-M. Kane, M. Lovelock et Mm Yarros. Direction la pêche aux infos, vous allez vous diriger à l'adresse envoyée dans un club connus pour être livrés par une nouvelle drogue des Devil's Nigth! Nous ordonne Andrea.
-Bonne chance mec, fredonne la vois enjoué de Kyle, à mon oreille.
Ouais, bonne chance...