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2 - 2. Le poids de l'héritage
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1. Un nouveau départ

 Lilia.

Mes talons claquaient au sol, essayant de me frayer un chemin dans la foule. Le bruit des verres se mêlaient avec les éclats de rires jusqu’au son des appareils photos me laissant complètement déroutée, jusqu’à ce que je vis une silouhette qui m’est familière celle que je cherchais. Son haut à volants, ses longs cheveux bruns et sa jupe longue paillettée m’évervaillaient autant que son make up. 

— Tu veux du soda ? m’interrogea Cassie.

— Non merci ma belle, lui répondis-je malgrè le tambourinnement des enceintes. Cassie était ma meilleure amie depuis le collège et on ne s’est jamais quitté. J’ai trouvé une fille avec le même sale carctère que moi, on se complète beaucoup de plus elle est toujours à la pointe de la mode. C’est alors qu’une blonde aux yeux azurs nous interpella :

— Venez dansez les filles c’est Danza Kuduro ! Nous nous précipitons pour rejoindre l’hôte de cette soirée, Alexane la fille la plus populaire du lycée mais tout de même très conviviale.

Quelques heures passèrent, il était 01h30. Il se faisait tard.

— Cass je vais rentrer jsuis crevée. annonçais je à mon amie

— Okay beauté fais attention en rentrant bisous ! me répondit-elle Je sortis du jardin et pris la route vers chez moi. Mes escarpins me faisaient terriblement mal aux pieds alors j’empressai le pas. J’étais à 5min de chez moi, tout à coup je sentis une main et froide m’aggriper le poignet. 

— Toi tu viens avec moi.

— Qui êtes vous ? Lâchez moi tout de suite, vous ne savez pas à qui vous avez à faire !

-Ferme la et suis moi.

                           Il me tira brusquement vers une ruelle étroite auquelle je n’avais jamais prêté attention. Je vis un van noir, la portière arrière ouverte. 2 hommes se tenaient des côtés de cette dernière, leurs visages stoïques portant le même costume que le type qui ressemblait plus à une asperge qu’un garde.

Il me poussa violemment à l’intérieur sans un mot, mis à part des grognements il ferma cette dernière, mais je réussis à déchiffrer ses mots à travers la vitre teintée :

— La fille a été shopée, montez avec elle ne la lâchez pas. Les hommes acquiésèrent et s’empressent de me rejoindre de chaque côtés en me tenant fermement chacun de mes bras, tandis que mon agresseur conduit. 

— Pas besoin de forcer comme ça les gorilles je vais pas m’échapper répliquais-je sarcastiquement.                                                                                                                                                                                         Mais aucune réponse, ce fut ainsi tout le reste du trajet. Une chose que j’ignorais, l’endroit dans lequel j’allais me retrouver. La route était INTERMINABLE on avait l’impression qu’on allait quitter le pays je m’endormais presque sur le gorille numéto 1 à ma gauche… 

Enfin arrivés, la portière s’ouvrit et je posai un pied sur le sol rapidement je passai à l’autre. Une fois entièrement sortie, mes yeux s’écquarquillèrent d’un seul coup, mon cœur cessa de battre 1 demi seconde et mon esprit s’embrouilla. Des bâtiments imposants, aucune végétation, des hommes armés jusqu’aux dents dans tous les coins, une ambiance très opressante… Enfin bref  je pouvais en déduire une chose, je n’étais pas chez moi et je savais précisément où j’étais. Je vais rester impassible et attendre pour en savoir plus. 

Nous avançames vers l’entrée d’un des bâtiments qui avaient attiré mon attention.

— On a la fille, le chef l’attend. Dis un des gars qui m’avait bloqué le bras. Je parcourais des yeux le couloir dans lequel je me trouvais, puis pris l’ascenseur pour apercevoir le chiffre 36 s’activer.

                     Tu m’étonnes que le bâtiment est giganstestque alors ! J’entendis le son du bip retentir et vis les portes s’ouvrir. Mon agresseur me devança et se dirigea vers une porte grisâtre à laquelle il toqua attendait quelques secondes puis l’entrouvtit. 

— Entrez.

— Patron, nous l’avons trouvé, elle est là.  Ils me poussèrent en avant et le brun ordonna :

— Dégagez, vous avez fait votre boulot. 

Alors ils s’exécutèrent, me laissant face à ce sourire mauvais, ces iris emplis de cruauté, et ce corps étrangement attirant. Je restais muette en attendant qu’il m’interpelle.

— Ma chère, sois la bienvenue dans mon repaire. me dit-il d’une façon suspecte. Je devais simuler mon intrigue pour voir jusqu’où il était prêt à aller.

— Cessez votre comédie et répondez à mes questions. Qui êtes vous et où suis je ?

— Oh une femme avec du caractère, on va bien s’entendre. Il rajouta : Je suis un ami de ton père amore.  A peine 5 minutes avec lui il me dégoute au plus haut point. 

— Je connais bien les amis de mon père et vous n’en faites clairement pas partie. De plus vous n’avez pas répondu à ma question. Un sourire malsain se forma sur ses lèvres.

— Tu es en sécurité. répondit le psychopathe d’un ton peu rassurant.

                             

Je suis déçue de sa maîtrise inexistante du mensonge. Je m’attendais à mieux, je ne peux m’empêcher de l’exprimer..

— On est de l’autre côté de la barrière. Vous êtes le chef du clan, et vous voulez faire tomber mon père. Vous me décevez beaucoup, je vous croyais plus doué.

— On ne peut rien te cacher, une femme ayant du cran, perspicace et terriblement alléchante.. Tu veux me séduire amore ? Tu y arrives si c’est le cas.

— Un homme tellement lâche qu’il joue un rôle pour amadouer la fille de son ennemi. Vous voulez m’attendrir ? Revoyez vos stratégies.

Je n’ai pas pu m’empêcher de lui faire clouer son bec à ce pervers je suis assez douée pour ça. Le pire c’est qu’il a l’air d’avoir mon âge, ça me répugne…

— Maintenant qu’on s’est tout dit je peux me barrer ? Ou vous allez encore essayer de me faire parler ? Vous voulez quoi son argent ? Sa famille ? Ou encore son clan ?

— Des informations amore. Je déglutis aussitôt je savais bien ce qu'il voulait mais comment faire pour qu'il abandonne... Après 2 longues minutes de blanc, il me fixe d'un air confiant et dit une phrase pas du tout cohérente :

— Bon, file, amore je te libère. J'entrouvrais ma bouche pour parler mais il ne me laissa pas le temps de finir ma phrase.

— Mais je croy-...

— Mes hommes vont te raccompagner mais pas un mot à ton père sinon je devrais prendre des mesures. Il claqua des doigts et les 2 gorilles vinrent me chercher.

Qu'est ce qu’il s'était passé ? Pourquoi m'avoir libéré ?

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